l Fraîchement aménagée, la route reliant le chef-lieu de la commune de Saharidj au village Aggache connaît un important trafic. La majorité des habitations de ce village se situent le long de cette route, séparées uniquement par un fossé sans trottoirs ni bordures de sécurité. Certaines de ces habitations ont leurs portes de sorties donnant directement sur la route et pour lesquelles le goudron de cette route constitue le pas des portes. C’est un miracle que jusqu’à présent, aucun accident n’ait été déploré dans ce village.
La route étant bordée par toutes sortes d’arbres touffus, la visibilité des conducteurs est quasiment nulle, réduite à quelque mètres seulement et le danger est de ce fait multiplié par dix. A signaler qu’avant d’atteindre le village en question, cette route secondaire traverse toute la partie sud du centre urbain de Saharidj en quittant la RN 30, d’où l’urgente nécessité d’aménager des ralentisseurs sur cette route. Un cas sur lequel doivent se pencher sans retard les autorités locales. Notons enfin qu’aucune plaque de signalisation routière telles celles limitant la vitesse où l’entrés de l’agglomération n’ont accompagné la réalisation de cette nouvelle route.
Omar Soualah