l Ce deuxième album est un mélange d’amour et d’amitié dédié à toute la jeunesse algérienne assoiffée de belle musique.
Le chanteur kabyle Djamel Mekil vient de sortir son deuxième album qui sera sur les étals début avril et qui s’intitule « Fellam achenough », un album dédié à l’amour et à la jeunesse et qui porte sur 8 chansons de quatre minutes chacune. Cet album est le fruit de deux années de travail acharné pour donner naissance à son deuxième bébé qui, espère-t-il, charmera son vaste public. Natif du village d’Ighemrassen, dans la commune des Issers, Djamel Mekil, 30 ans, a toujours baigné dans la musique.
A ce sujet, il déclare : « J’ai commencé à chanter depuis que j’étais petit et les gens m’encourageaient toujours en me disant que j’avais une belle voix et que je devrais animer des fêtes alors je me suis lancé sans me poser de questions ». Et d’ajouter : « C’était toujours mon rêve de chanter devant un public car c’est en chantant et en fredonnant des airs que je me sens libéré et ce n’est qu’en chansons que je peux m’exprimer ». « J’ai toujours voulu chanter l’amour car c’est de là que je m’inspire ; ce deuxième album, il me tient beaucoup à cœur et sur lequel j’ai beaucoup travaillé pour améliorer les paroles et la musique pour offrir au public un bon produit car il est exigeant. Cet album était prévu pour 2007 mais j’ai malheureusement rencontré beaucoup de problèmes qui retardent la sortie de l’album, et ce jusqu’à avril prochain ».
Ce chanteur à la voix d’or anime en parallèle des fêtes et des galas sur tout le territoire national et son souhait c’est d’animer des galas à l’étranger pour se faire connaître comme ses aînés. Cet album vient s’ajouter au premier qui a été un grand succès et a beaucoup séduit ses fans. En ce sens, il déclare : « J’espère que je serai à la hauteur des attentes de mon public et lui offrir un produit digne de ce nom ».
En attendant ce nouvel album qui est une vraie bombe avec une musique enchanteresse ce jeune homme à la voix magique espère encore progresser pour améliorer sa voix et la travailler davantage pour, dit-il, servir la chanson kabyle et l’honorer sur le plan national et international.
Merbouti Hacène
