Plus de 47 000 candidats attendus

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Plus de quarante-sept mille élèves des trois cycles sont attendus le mois de juin prochain pour participer aux examens de fin d’année dans la wilaya de Tizi-Ouzou. Ainsi, 16 529 écoliers primaires se présenteront aux examens de la 5e, 16 600 au BEM et 14 800 lycéens dont des candidats libres au bac. Les différents examens sont prévus à partir de la fin mai avec la tenue des épreuves de la 5e. Le BEM se tiendra le 1er juin et le bac le 7 du même mois. Tout semble être mis en place afin de garantir les meilleures conditions pour le déroulement de ces concours. Les candidats eux se préparent d’arrache-pied pour être au rendez-vous. Les responsables du secteur au niveau de la wilaya misent sur une bonne “mission”, pourquoi pas celle de rééditer la belle performance réussie par la capitale de Djurdjura en réalisant des taux de réussite exceptionnels et historiques. Il faut dire que la direction de l’éducation a mis les moyens durant toute l’année scolaire et ce, en réalisant plusieurs structures venant renforcer celles déjà existantes à travers la wilaya. Plusieurs écoles primaires, CEM et lycées ont enregistrés des travaux d’aménagement dans le cadre de ce qu’on appele projet de grosses réparations pour lequel les services publics ont réservé d’assez conséquentes enveloppes financières.

Il est à noter que la wilaya de Tizi-Ouzou compte cette année 79 326 élèves dans le cycle primaire, 88 674 collégiens et 34 497 lycéens.

En matière d’infrastructures, le rapport fait état de 2 000 salles de cours qui n’ont pas été utilisées pour manque d’élèves. Par ailleurs, la wilaya a enregistré un surplus en nombre d’encadreurs dans les trois cycles. Comme l’a dit un intervenant lors de la session de l’APW tenue hier sur le sujet, le secteur de l’éducation va bien dans la wilaya de Tizi-Ouzou. Peut-être, mais toujours est-il que certains écoles souffrent de l’absence de chauffage, d’eau… En effet, il y a encore à faire afin d’atteindre un taux de satisfaction de 100%, cela d’autant que les moyens financièrs existent.

M. O. B.

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