Un programme ouvert sur les curiosités du 7e art

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La 9e édition des rencontres cinématographiques de l’association Project’Heurts de Béjaïa s’est ouverte dans la soirée du samedi 11 juin au théâtre régional Malek Bouguermouh et s’ètalera jusqu’au 17 du même mois.

Le coup d’envoi, qui a été marqué par la projection d’un documentaire de 52 mn intitulé «Dans le silence, je sens rouler la terre» de Lakhdar Tati, a été donné en présence en présence des responsables de la culture de la wilaya. Le débat qui suivit la projection du film a, de l’avis général, procuré beaucoup de plaisir aux spectateurs. Beaucoup de films et de courts métrages ont enrichi le programme de cette manifestation culturelle. De la série des longs métrages, le public retiendra notamment «Afric Hôtel» de Djedouami et de Ferhani, «Les larmes de l’émigration » de Diago et «Le dernier homme» de Ghassen Salhab. Pour ce qui des courts métrages, ils sont nombreux, riches et variés et ouverts à la curiosité de ce qui se passe ailleurs dans le monde, sur les formes cinématographiques. Concernant la participation internationale, Houchich Abdenour président de l’association Project’Heurts, qui est à l’origine de ces rencontres, indique que cette année, il a enregistré la présence de 8 pays qui sont le Maroc, la Tunisie, le Liban, le Syrie, la France, le Sénégal, le Canada et l’Algérie.

A noter, signale également le responsable de l’association, que la journée du 14 juin (aujourd’hui) sera consacrée entièrement au cinéma syrien.

De même qu’une rétrospective est dédiée au réalisateur libanais Hassan Slhab qui aura à présenter ses films et à les débattre avec le public.

A retenir aussi qu’au cours de ces 6 jours de cinéma tous azimuts à Béjaïa, le Café ciné présente tous les jours à 10 heures, les débats les films projetés en présence des réalisateurs.

B. Mouhoub

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