Films roumains et égyptiens à l’affiche

Partager

l Dans le cadre de la Première édition du Festival du cinéma canadien à Alger (FICCA) du 22 au 30 mars à Alger, l’ambassade du Canada a le plaisir de vous inviter à la projection du film roumain Occident et du documentaire égyptien Monuments d’Alexandrie, le mardi 27 mars à 18 heures à la salle Ibn Zeydoun.

Ces films s’inscrivent dans le cadre de la fenêtre ouverte sur la francophonie et par laquelle le festival reçoit les projections de trois pays amis qui sont membres, comme le Canada, de l’Organisation internationale de la francophonie : la Grèce, l’Egypte et la Roumanie.

Le FICCA accueille ce mardi deux productions, l’une égyptienne et l’autre roumaine. L’ouverture se fera avec le court métrage documentaire égyptien, Monuments d’Alexandrie, réalisé par Djamal Madkour. Ce film-documentaire inédit de 1959 nous fait découvrir les monuments archéologiques romains et africains de la ville d’Alexandrie depuis l’époque d’Alexandre Le Grand à Mustapha Kamel Atatürk. Ahmed Smaïl signe le commentaire de ce documentaire, filmé avec soin par Ahmed Kourshid.

La soirée se poursuivra avec la projection du film roumain Occident, présenté pour la première fois en Algérie. Réalisé par Cristian Mungiu, ce drame raconte l’histoire de Luci et sa fiancée Sorina, lesquels se retrouvent un jour dans la rue. Tous deux se rendent sur la tombe du père de Sorina, espérant y trouver l’inspiration pour résoudre leurs problèmes. En guise de signe mystique, une bouteille tombe du ciel et heurte Luci à la tête. Par chance, Jérôme, un Français, les conduit à l’hôpital. Il devient pour Sorina le seul espoir de sortir de sa condition…

Au total, 14 films sont présentés lors de cette première édition du Festival itinérant du cinéma canadien à Alger, lequel a bénéficié du soutien du ministère de la culture et qui est inscrit dans la manifestation “Alger, capitale de la Culture arabe 2007”. On verra ainsi la projection, chaque soir à partir de 18 heures, de films canadiens et de films du monde francophone, et ce gratuitement pour le public algérois.

Partager