Le siège de l’APC fermé par des citoyens

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Les contestations se suivent et se ressemblent comme à chaque répartition de logements sociaux. Cette fois ci, ce sont les habitants de Aomar qui après avoir pris connaissance ce la liste des bénéficiaires de ces logements ont cru bon de hausser le ton en procédant à la fermeture de l’APC et en empêchant l’accès aux employés municipaux. Il faut dire que les contestataires seront rapidement rejoints par d’autre citoyens de Souadek qui, eux, de guerre lasse, se sont joints à la protesta afin de revendiquer de meilleures conditions de vie. En effet, la localité de Souadek située à 05kilomètres du chef-lieu communal souffre d’un manque flagrant de toutes les commodités dont notamment le réseau d’assainissement qui est quasi inexistant. Toute la journée d’hier, l’ensemble des services de l’APC d’Aomar était paralysé et les protestataires campaient de pied ferme devant cette institution en attendant d’être reçus par le premier magistrat de la commune. Cet édile étant absent et donc dans l’incapacité physique de recevoir ses concitoyens, la situation de crise risque de s’inscrire dans la durée surtout si cette absence s’éternise. Un comportement jugé par certains protestataires comme un reniement de responsabilité et de mépris.

Hafidh B.

Saharidj Ils exigent la réhabilitation urgente de leur salle de soins

Les citoyens s’attaquent à la mairie

La salle de soin du chef-lieu de la commune de Saharidj a fait l’objet d’une grogne généralisée hier -matin et plusieurs dizaines de personnes ont dans la foulée, fermé les portes du siège de l’APC ,en revendiquant une salle de soins digne de ce nom. Pour rappel, l’ancienne salle de soins, dans un état de délabrement avancé avait été délocalisée, le temps de refaire les travaux de réhabilitation. De ce fait, elle avait été transférée, dans une aile de……la bibliothèque municipale ! Un lieu insolite qui pourtant avait été choisi comme ultime recours pour parer au plus pressé. Cependant, force est de constater que le provisoire qui perdure dans le temps, a fait sortir de leurs gonds certains citoyens qui devaient quotidiennement se rendre à la bibliothèque pour des injections ou divers autres soins médicaux. Un site jugé inadéquat mais surtout éloigné du chef-lieu. Toutes nos tentatives pour joindre M Belkacemi, P/APC de Saharidj s’étant révélées infructueuses, nous ne saurons pas plus sur l’issue desortie à cette crise biblio-médicale.

Hafidh B.

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